Mise en place de la seconde couche d’isolant: laine de bois en couche croisée. Nous pré-perçons des trous au foret bois à l’emplacement des suspentes, car les 20cm d’isolants sont trop épais et trop denses pour les transpercer.
Une des raisons de notre choix pour cet isolant, le livre « L’isolation thermique écologique » est un livre de référence dans l’isolation respectueuse de l’environnement et particulièrement adapté au bâti ancien
La découpe est assez simple, à l’aide d’un couteau à dent de laine de verre ou une scie avec petites dents. Pas mal de découpes au niveau des arbalétriers et des velux.
Afin de bien plaquer les plaques aux chevrons, nous ajoutons quelques longues vis avec rondelles les compressant. Le long du conduit de la cheminée, mise en place d’un couche de laine de roche au cas où le conduit chauffe (ce qui est très peu le cas)
Une fois la seconde couche terminée, début de pose d’un pare vapeur. Le pare vapeur évite la stagnation de vapeur d’eau dans l’isolant et fait parti de la RT2012: Pare vapeur
La pose de la membrane doit être ininterrompue et les raccords parfaitement réalisés et afin d’être étanche
Autour du conduit du poële qui lui chauffe, il faut laisser un espace de 8cm minimum. Nous laissons donc un peu plus et nous comblerons cet espace par de la laine de roche qui elle est autorisée.
Il reste à jointer le pare vapeur avec les murs et la charpente pour terminer l’étanchéité